30.4.07

Mai 68 : Sarközy et la voix de son maître, Philippe Pétain


Laissons parler le Maréchal, autre félon célèbre :



"Nous tirerons la leçon des batailles perdues. Depuis la victoire(de 1918) , l'esprit de jouissance l'a emporté sur l'esprit de sacrifice. On a revendiqué plus qu'on a servi. On a voulu épargner l'effort ; on rencontre aujourd'hui le malheur."
Pétain s'adresse aux Français, 20 juin 1940


"Notre défaite est venue de nos relâchements. L'esprit de jouissance détruit ce que l'esprit de sacrifice a édifié. C'est à un redressement intellectuel et moral que, d'abord, je vous convie. Français, vous l'accomplirez et vous verrez, je vous le jure, une France neuve sortir de votre ferveur."
Philippe Pétain, "Appel du 25 juin 1940"


C'est librement que je me suis rendu à l'invitation du Führer. Je n'ai subi, de sa part, aucun diktat, aucune pression.
Une collaboration a été envisagée entre nos deux pays. J'en ai accepté le principe.
Message radiodiffusé du maréchal PÉTAIN, octobre 1940.

"Cette loi du travail a été marquée par une formule de malédiction : « Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front ». C'est donc à tort qu'on a fait luire à vos yeux le mirage d'une cité future où il n'y aurait plus de place que pour le loisir et pour le plaisir. "
MESSAGEDE COMMENTRY1er MAI 1941



Sarközy, à l'usage du dernier carré des rombières du FN qu'il veut raccoler à n'importe quel prix , a ressorti du placard le plus pourri de l'histoire de France les meilleures phrases de Pétain à propos du Front Populaire, et nous les ressert quasi textuellement à propos de Mai 68.



Citation pour citation, si Sarközy est élu le 6 Mai 2007 à 20h, je vous donne rendez-vous ici même à 20 h 01.


Pour nous redonner un peu de moral, nous relirons ceci :








à la guerre comme à la guerre...

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29.4.07

Sarközy, après lui, les mouches.....

Sarkozy s'est plaint des caricatures de Plantu, selon "Le Monde"
AP 28.04.2007 21:27


Nicolas Sarkozy s'est plaint auprès de Plantu puis de la direction du "Monde" de la façon dont le dessinateur du journal le caricaturait, selon un article paru dans l'édition datée de dimanche-lundi. Le candidat de l'UMP à l'élection présidentielle était à l'époque ministre de l'Intérieur.
"Je ne le vis pas comme une tentative de pression car j'ai la chance d'être soutenu par la rédaction du 'Monde'", explique le caricaturiste dans le journal, mais "Sarkozy impressionne tellement que, s'il y a un pétochard dans la rédaction en chef, la liberté du dessinateur est fichue".
Nicolas Sarkozy n'a pas réagi à l'article samedi.
En décembre 2005, raconte la médiatrice du "Monde" Véronique Maurus, un "motard en tenue" a remis à Plantu "une lettre à en-tête du ministère de l'Intérieur" dans laquelle M. Sarkozy lui reprochait d'avoir dessiné une mouche au-dessus de sa tête.
"Je sais qu'elles accompagnent généralement la représentation de Jean-Marie Le Pen", écrivait le ministre. "J'ignore sincèrement ce qui me vaut un tel traitement, tant je considère avoir, tout au long de ma vie politique, combattu les idées de l'extrême droite: le racisme, l'intolérance, l'antisémitisme et, de manière générale, tout ce qui atteint l'homme dans sa dignité, à commencer par l'esclavage", ajoutait-il, proposant au dessinateur un entretien destiné à dissiper "le malentendu".
"Bien sûr, le lendemain, j'ai dessiné trois mouches! (...) Il provoque lui-même la réaction qu'il redoute. Là où il y a une mouche, il en crée trois", déclare Plantu, cité par son journal. Depuis, poursuit "Le Monde", Nicolas Sarkozy a "aggravé son cas en se plaignant auprès de la direction du journal d'avoir été croqué en petit chien, 'en roquet', selon lui, puis d'avoir été affublé du brassard I.N." (pour "identité nationale", le nom du ministère qu'il a dit vouloir créer).
Plantu, de son vrai nom Jean Plantureux, affirme qu'il "assume" son "rôle excessif" et qu'il lutte à sa façon contre les accusations de "sarkozysme" visant "Le Monde". Et d'en rajouter en notant que Nicolas Sarkozy "ne (lui) reproche pas de le dessiner en traître. C'est curieux..." AP




Scathophaga stercoraria - Mouche à merde

Sarközy le poids mouche, prend la mouche, et veut moucher Plantu. A trop vouloir jouer les fines mouches, à force de jouer les mouches du coche, d'envoyer ses mouchards, dru comme mouches, dans les rédactions, de chasser les mouches , d'être piqué de la mouche de la censure et de la pression sur la presse, cet enfileur de mouches fait querelle sur une mouche.
Comment lui expliquer qu'on n'attrappe pas les mouches avec du vinaigre, et que, si l'on veut faire mouche, il ne faut pas être trop tendre aux mouches ?
Ses pattes de mouche, même expédiées par un motard en uniforme, ne feraient pas de mal à une mouche : elles sont ennuyeuses comme les mouches, et vouloir écraser Plantu comme une mouche, c'est de l'enculage de mouches.
Qui se sent morveux, qu'il se mouche.


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25.4.07

Sarközy, l'homme qui crache dans la main qui le nourrit

TRAÎTRE UN JOUR, TRAÎTRE TOUJOURS

Allez donc faire un petit tour par ICI (<--clic)

Ensuite, retournez donc ICI (<--clic)

Enfin, regardez bien cette image :


Cela s'intitule : le traître pendu.
Et c'est le châtiment que les Grecs avaient inventé pour les traîtres. Bien avant d'avoir inventé la démocratie. Sacrés Grecs!

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23.4.07

2ème tour : retour au XIXème siècle


affiche du Parti Socialiste belge, vers 1880 (à peine modifiée)

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22.4.07

Malgré les menaces du CSA, Bebereulnanar annonce dès 13 h 15 les résultats du premier tour des élections présidentielles 2007

Comme l'annonce la presse :


"Présidentielle 22/04/2007 - 10:59
Nicolas Sarkozy a voté à Neuilly
Nicolas Sarkozy a voté, dimanche en fin de matinée, pour le premier tour de l'élection présidentielle. Le candidat UMP est arrivé à l'école maternelle Edith Gorce Franklin, sur l'île de Jatte, dans sa ville de Neuilly-sur-Seine peu avant 11 heures. Il est arrivé aux (*) bras de son épouse, Cécilia et avec ses deux filles, Jeanne-Marie et Judith. Cécilia Sarkozy a été très discrète depuis le début de la campagne, ce qui a alimenté des rumeurs sur leur couple qui a traversé une crise au printemps 2005. " (Journal du Dimanche)





A la suite d'un bref dépouillement, il a été proclamé Président de la République, ayant obtenu 75% des suffrages,un des 4 bulletins ayant été déclaré nul, car il portait , écrite à l'aide d'un tube de rouge à lèvres, la phrase suivante: "Si j'avais su, j'aurais fait comme Ségolène, je ne me serais jamais mariée... encore 5 ans pour me dépêtrer de ce c.... aaaaaaarghhhh......."


On sait que la Constitution de la cinquième République interdit l'usage du rouge à lèvres pour la rédaction des bulletins de vote. C'est ce que fit valoir le président de l'équipe de dépouillement, juste avant de rouler en boule le bulletin litigieux, de l'avaler, et de se faire embarquer par le service d'ordre.


Le nouveau locataire de l'Elysée a immédiatement fait publier le communiqué suivant :


"Le Président de la République, par le pouvoir qu'il se confère, transforme dès aujourd'hui son CDD en CDI. Il informe la population qu'il est inutile de se rendre dans les bureaux de vote ce dimanche 22 avril, le scrutin étant déclaré clos et valide. Toute élection est désormais inutile, l'Idée de la France que je me fais s'étant exprimée une fois pour toutes. Moi, les heures sup, ça ne me fait pas peur"



Le nouveau Président s'est fait remettre les insignes
de son nouveau pouvoir au cours d'une courte cérémonie
à laquelle n'assistaient que deux membres de sa famille.




(*) Ce "x" figure bien dans le communiqué du Journal du Dimanche. Je le laisse ici. 13 heures, un dimanche, c'est l'heure d'aller pouffer.

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18.4.07

Salut, Cécel !

-Salut, Cécel !

-Tiens, Eulnanar! Quénouvelle, depuis le temps qu'on ne t'a vu?

-Ca va.... On boit un coup, Cécel? Allez, une tite bière...

-Non, tu vois, aujourd'hui, je peux pas.

-Ben, pourquoi, Cécel ?

-Ben, parce que je suis mort, va....



-Ben vla tout, on la boira la prochaine fois qu'on se reverra, mon vieux Cécel.

11.4.07

Sarközy et le gène du crime : Bebereulnanar lance un grand jeu-concours !

Le crime est génétiquement programmé, soit. C'est la raison pour laquelle les criminels ont des têtes d'assassin.
La science du XIXème siècle l'a abondamment prouvé.
La règle du jeu est simple.
Lisez soigneusement ce texte, muni d'un crayon et d'une feuille de papier. Dessinez soigneusement tous les traits de tous ces criminels sur un seul visage.

Qui voyez-vous apparaître ?



Vagabond
Querelleur
Escroc
Fanatique
Voleur
Dépravé
Empoisonneur
Meurtrier

"Chacun de ces types est reconnaissable à des traits distinctifs visibles.


Le vagabond possède une « physionomie souvent malicieuse, fine et même assez intelligente, mais presque toujours, à la fois, sardonique, fausse, licencieuse, le vagabond est commun, familier, cynique dans ses manières ».

Le querelleur a une physionomie « avineuse, oeil dur, provocateur, bouche grimaçante, visage contusionné, meurtri, cheveux mal tenus ».

L’escroc a le « regard faux, caressant, perfide ; si vous le cherchez, il vous évite ; si vous ne le poursuivez pas, il vous observe et vous étudie ; sa physionomie satanique offre, à la fois, quelque chose de souriant, d’affectueux, de prévenant, mais d’emprunté, d’indécis, d’amer, de fatal ».

Le fanatique arbore une « physionomie martiale, regard fier, audacieux », des « lèvres mobiles et frémissantes ». Il offre, « dans les fers l’image du lion resté fier et terrible dans les entraves d’une ménagerie ».

Le voleur est « facile à reconnaître : regard furtif, inquisiteur, pénétrant, semble toujours occupé du besoin de prendre connaissance des lieux, des choses, des hommes, pour mieux accomplir ses desseins ».

Le dépravé « présente quelque chose d’instinctivement criminel et vicieux ; son sourire grimacé, perfide, porte dans l’âme une sorte de froid glacial, une influence pénible et presque léthifère. Sa voix est gutturale et discordante, son coup d’oeil pénétrant et diabolique, c’est le regard éblouissant et fatal de la panthère et du caïman ».
L’empoisonneur a un « visage efféminé, prévenant, un oeil caressant et faux comme celui du serpent qui veut fasciner sa proie »
.
Le meurtrier enfin, « appartient à ces natures sauvages ou grossières et stupides qui commettent le meurtre souvent avec plaisir, quelquefois sans préméditation et sans intérêt : comme l’hyène et le chacal se livrent à leurs terribles instincts par le seul amour du sang et du carnage ». Il a un « regard sinistre, farouche, haineux, menaçant ; les lèvres minces, frémissantes, crispées ; les narines ouvertes et respirantes ; les mouvements brusques, saccadés, la démarche convulsive et bondissante ; leur ensemble offre quelque chose de hargneux, de féroce et d’antipathique »
(Lepelletier de la Sarthe, Système pénitentiaire complet..., 1857, p. 176-202).


Vous avez trouvé?
Etonnant, non ?

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Sarkozy a raison : le crime est génétique. Bebereulnanar en apporte la preuve :




"La menace des sous-hommes.
Les criminels mâles ont en moyenne 4,9 enfants ; un couple criminel : 4,4 enfants ; parents d'enfants médiocres à l'école (3,5) ; la famille allemande : 2,2 enfants ; un couple dans les bons milieux, 1,9 enfants" de Otto Helmut, in Volk in Gefahr (Peuple en danger), Munich, 1937

Cette date et ce lieu d'édition sont évidemment fortuits.
Le grand danger des sous-hommes,c'est qu'ils se reproduisent beaucoup. On le voit bien ici, ils sont pauvres : c'est génétique. Si l'on n'y met fin rapidement, les bons Allemands (riches :c'est génétique aussi) seront submergés par les sous-hommes (génétiquement criminels cela va de soi, même s'il peut paraître étrange qu'un couple criminel soit moins fécond qu'un couple dont le père seul est criminel : c'est bien la preuve qu'ils ont le vice dans la peau)

Deux solutions se proposent :
-Rendre les sous-hommes riches : toutes les lois de la génétique s'y opposent.
-Se débarrasser des sous-hommes. C'est difficile, mais en cherchant un peu dans ce qui s'est publié à Münich dans les années 30 et 40, on devrait pouvoir trouver.

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6.4.07

attentat patissier : Sarközy, le bravache nettoyeur au Kärcher se déballonne et cède à la terreur chocolatière.

“Sarko au Kärcher”Dans le quartier de la Croix-Rousse, historiquement le plus rebelle de Lyon, l’ancien ministre de l’Intérieur était attendu par deux cents personnes devant le chocolatier qu’il devait visiter. Une partie scandait “Sarko au Kärcher” et brandissait des pancartes sur lesquelles était écrit : “Vous n’êtes pas le bienvenu”, tandis que des militants UMP présents répondaient par des “Sarko président”. Informée de la situation, l’équipe Sarkozy a donc préféré se passer de chocolat. En apparence, le comité d’accueil était anodin. Mais la visite se déroulait juste après l’annonce, dans la matinée, de l’ouverture d’une enquête par le parquet antiterroriste concernant des menaces d’attentat contre le candidat UMP. "Métro"

Le Zorro des banlieues, l'Indiana Jones des quartiers, Le Superman des HLM dont le mot d'ordre est "vous allez voir ce que vous allez voir!"s'est défilé comme un péteux devant 50 bons bougres rigolards, invoquant tantôt le retard de son avion, tantôt on ne sait quel complot terroriste intergalactique contre sa personne. Ce serait drôle si ce n'était pitoyable.

Ce Rigoulot-là n'est qu'un rigolo.
Lyon : Bernadette Chirac en admiration devant les abdominaux en plaque de chocolat de son poulain (marque déposée)
Dernière minute :
Sanction disciplinaire contre les policiers de Rouen : mutation d'urgence à Lyon et faction devant tous les chocolatiers de la ville.
On ne fait pas d'hommelette sans casser d'oeufs (en chocolat?).

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3.4.07

Ministère de l'hystérie et de la chiennerie française


"La chiennerie, c'est la vieille grivoiserie française, reprise par des mâles vulnérables et rancuneux"
Simone de Beauvoir


Il y a aujourd'hui en France au moins un exemple d'assimilation réussie au tréfonds vaseux de l'identité française.
Encore une preuve que tout est possible.
Une hystérique qui voyait loin ...

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Sarközy et la lepénisation du discours : la gauche "hystérique"


Le professeur Charcot-Zy présente le cas de Ségolène Royal aux Français, dans l'arrière-salle du café du petit Commerce

Hystérique :
Empr. au gr. (dér. de « matrice ») « qui concerne la matrice; malade de la matrice, hystérique », en partic. (s.-ent. ) « les affections de la matrice ». (B. lat. hystericus, mêmes sens) (Trésor de la Langue française).
Sarkozy s'essaye depuis longtemps à la méthode Le Pen qui consiste à envoyer des messages subliminaux à travers des mots qu'il feint de croire innocents : "hystérie" renvoie à la femme, donc à Ségolène Royal, génétiquement incapable du pouvoir, puisque femme.
On se souvient de "Durafour crématoire" et du "détail de l'histoire", on en parle encore en se poussant du coude au coin des comptoirs des Cafés du petit Commerce...

Méthode efficace qui s'adresse à ce que l'identité française a de plus répugnant.

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2.4.07

CLIQUEZ ICI-MÊME !

après avoir cliqué sur le titre, ça s'affiche, et là, cliquez sur "ECOUTER"



1'23" après, dans "ARCHIVES", tapez "Chirac" ou "Sarkozy" (sans"¨") et baladez-vous!

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1.4.07

1er avril : Bebereulnanar se fait curé !

Mis à part le fait qu'il continue bêtement d'appeler Jean Meslier "l'abbé Meslier", j'aime bien Michel Onfray. J'aime bien ce qu'il dit de Dieu qui n'existe pas, des curés de tout poil qui existent, hélas. J'aime bien ses prises de position politiques, sur le rôle du philosophe dans la cité, sur le corps, sur la bouffe etc. Bref, j'aime bien Michel Onfray. Même quand il soutient José Bové, ce qui me paraît assez cohérent pour un libertaire. Moi, si les anarcho-syndicalistes pouvaient se passer de syndicats, je serais anarcho-syndicaliste aussi.

J'aime bien Michel Onfray, et je vais sur son blog de temps en temps. On n'y dit pas trop de conneries.

Bon mais voila. Est-ce un poisson d'avril ?, son dernier post fait l'éloge du Tintin de la lutte des classes, j'ai nommé (clic-->) l'innommable Besancenot, que la télé sort de son placard une fois tous les cinq ans, comme Arlette, la retraitée-qui-fait-des-heures-sup-pour-augmenter-son-pouvoir-d'achat, histoire de casser du socialiste, ça ne peut pas faire de mal à Bouighes.


J'y ai donc mis le commentaire suivant :


BOBONNET BLANC ET BLANC BOBONNET


à l'extrême gauche(?), tout le monde semble se résigner (ou souhaiter?) la victoire de Sarközy.
Tant qu'à continuer la lutte après les élections, autant choisir dès maintenant de se battre contre un adversaire(les socialistes) moins coriace que le petit aventurier vicieux qui tend des embuscades devant les écoles. 5 ans de Sarkö, c'est 5 ans de plus vers la misère des plus faibles, qui, eux, prendront en pleine gueule chaque mesure prise par la droite.

Méfions-nous de la belle théorie du bobonnet blanc et du blanc bobonnet, implacable sur le plan de la raison, certes, mais autrement plus implacable pour les plus démunis qui vont se retrouver sans CMU, sans logement, sans RMI, sans papiers, sans droit du travail dès l'année prochaine. Une victoire de Sarközy, c'est
-la gauche et l'extrême-gauche groggy comme en 2002 (les pauvres petits chéris)
-les mains libres à la droite et l'extrême droite,
-cinq ans de palabres pour ne pas se mettre d'accord sur une riposte 'unitaire', forcément 'unitaire'
-et des millions de laissés-pour-compte à la rue, à l'alcool, la misère, la faim, la maladie, l'exil...


Si le vote pour la gauche molle pouvait éviter cela à UN SEUL de ces êtres humains(quel curé, ce Bebereulnanar!), cela vaudrait la peine de transiger un peu avec de beaux principes dont on est même pas sûr que les beaux esprits qui les défendent n'auront pas changé d'avis à leur sujet dans 6 mois, dans un an, pour se rapprocher du manche.

"Quand on partage les souffrances du pauvre on a le sentiment de l'inégalité sociale; on n'est pas plutôt monté en voiture que l'on méprise les gens à pied." François-René de Chateaubriand

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