16.3.07

communiqué. (C'est un peu sec, comme titre, mais c'est normal pour un communiqué)

Bebereulnanar a déposé ses zéro signature à 18 heures zéro une ce soir même. Il pourra donc postuler à l’élection de 2012 sans aucun problème, si cette élection a encore raison d’être après le sacre de Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa 1er, dores et déja Empereur des français de souche et des immigrés identiques.



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Et maintenant,
Imaginons la France d'après...




Le sacre de Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa-Bokassa 1er, Empereur des Français de souche et des immigrés identiques, par la grâce de Dieu, assortie de la volonté du peuple et des mânes de Jean Jaurès.


La cathédrale de Reims était trop petite pour accueillir les amis (surtout les nouveaux) de Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa-Bokassa qui se pressaient en foule sur le parvis, ravis d'applaudir l'élégance discrète du nouveau souverain aux cris de "Le noir lui va si bien!" inlassablement repris sur l'air de O Cécilia, des regrettés Simon&Garfunkel&Joe&Dassin.
Michel Sardou, nouveau maître de chapelle et Surintendant de la Musique de l'Empereur, était à l'orgue, qui, rappellons-le, est le plus beau de toutes celles que nous avons vues.

Place d'Erlon, après la cérémonie, on donna au peuple le spectacle de la décapitation de 2000 socialistes triés sur le volet. L'opération fut menée rondement par 20 Hussards Noirs de la Garde Hongroise, qui firent voler les têtes à l'aide de leurs sabres de parade, dont les gracieux moulinets enchantèrent les dames. A la 2000ème tête,des sources bien informées affirment que Valérie Pécresse tomba en pâmoison et murmura dans un râle "ah! Sarkö, ah! Sarkö! c'est mon premier orggggg..." Le reste se perdit au milieu des hourras de la foule.

Cette même foule, submergée par tant de magnanimité, ne put s'empécher de scander longuement "Vivent les Renégats! Vivent les Renégats! Bénis soient les Renégats!" lorsque le nouvel Empereur s'empara du micro pour annoncer la grâce de Claude Allègre et d'Eric Besson dit "le Petit-Bleu".

Puis le petit peuple fut dispersée à coups de knout, et fut prié d'aller chercher des heures supplémentaires ailleurs.
La fête était finie.

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1 Comments:

Blogger pierre duys said...

ah ! le knout ! A-t-il neuf queues comme le chat ou sept vies comme l'empereur ?

5:52 PM  

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