Sarközy et le gène du crime : Bebereulnanar lance un grand jeu-concours !
Le crime est génétiquement programmé, soit. C'est la raison pour laquelle les criminels ont des têtes d'assassin.
La science du XIXème siècle l'a abondamment prouvé.
La règle du jeu est simple.
Lisez soigneusement ce texte, muni d'un crayon et d'une feuille de papier. Dessinez soigneusement tous les traits de tous ces criminels sur un seul visage.
Qui voyez-vous apparaître ?
Vagabond
Querelleur
Escroc
Fanatique
Voleur
Dépravé
Empoisonneur
Meurtrier
"Chacun de ces types est reconnaissable à des traits distinctifs visibles.
Le vagabond possède une « physionomie souvent malicieuse, fine et même assez intelligente, mais presque toujours, à la fois, sardonique, fausse, licencieuse, le vagabond est commun, familier, cynique dans ses manières ».
Le querelleur a une physionomie « avineuse, oeil dur, provocateur, bouche grimaçante, visage contusionné, meurtri, cheveux mal tenus ».
L’escroc a le « regard faux, caressant, perfide ; si vous le cherchez, il vous évite ; si vous ne le poursuivez pas, il vous observe et vous étudie ; sa physionomie satanique offre, à la fois, quelque chose de souriant, d’affectueux, de prévenant, mais d’emprunté, d’indécis, d’amer, de fatal ».
Le fanatique arbore une « physionomie martiale, regard fier, audacieux », des « lèvres mobiles et frémissantes ». Il offre, « dans les fers l’image du lion resté fier et terrible dans les entraves d’une ménagerie ».
Le voleur est « facile à reconnaître : regard furtif, inquisiteur, pénétrant, semble toujours occupé du besoin de prendre connaissance des lieux, des choses, des hommes, pour mieux accomplir ses desseins ».
Le dépravé « présente quelque chose d’instinctivement criminel et vicieux ; son sourire grimacé, perfide, porte dans l’âme une sorte de froid glacial, une influence pénible et presque léthifère. Sa voix est gutturale et discordante, son coup d’oeil pénétrant et diabolique, c’est le regard éblouissant et fatal de la panthère et du caïman ».
L’empoisonneur a un « visage efféminé, prévenant, un oeil caressant et faux comme celui du serpent qui veut fasciner sa proie »
.
Le meurtrier enfin, « appartient à ces natures sauvages ou grossières et stupides qui commettent le meurtre souvent avec plaisir, quelquefois sans préméditation et sans intérêt : comme l’hyène et le chacal se livrent à leurs terribles instincts par le seul amour du sang et du carnage ». Il a un « regard sinistre, farouche, haineux, menaçant ; les lèvres minces, frémissantes, crispées ; les narines ouvertes et respirantes ; les mouvements brusques, saccadés, la démarche convulsive et bondissante ; leur ensemble offre quelque chose de hargneux, de féroce et d’antipathique »
(Lepelletier de la Sarthe, Système pénitentiaire complet..., 1857, p. 176-202).
Vous avez trouvé?
Etonnant, non ?
La science du XIXème siècle l'a abondamment prouvé.
La règle du jeu est simple.
Lisez soigneusement ce texte, muni d'un crayon et d'une feuille de papier. Dessinez soigneusement tous les traits de tous ces criminels sur un seul visage.
Qui voyez-vous apparaître ?
Vagabond
Querelleur
Escroc
Fanatique
Voleur
Dépravé
Empoisonneur
Meurtrier
"Chacun de ces types est reconnaissable à des traits distinctifs visibles.
Le vagabond possède une « physionomie souvent malicieuse, fine et même assez intelligente, mais presque toujours, à la fois, sardonique, fausse, licencieuse, le vagabond est commun, familier, cynique dans ses manières ».
Le querelleur a une physionomie « avineuse, oeil dur, provocateur, bouche grimaçante, visage contusionné, meurtri, cheveux mal tenus ».
L’escroc a le « regard faux, caressant, perfide ; si vous le cherchez, il vous évite ; si vous ne le poursuivez pas, il vous observe et vous étudie ; sa physionomie satanique offre, à la fois, quelque chose de souriant, d’affectueux, de prévenant, mais d’emprunté, d’indécis, d’amer, de fatal ».
Le fanatique arbore une « physionomie martiale, regard fier, audacieux », des « lèvres mobiles et frémissantes ». Il offre, « dans les fers l’image du lion resté fier et terrible dans les entraves d’une ménagerie ».
Le voleur est « facile à reconnaître : regard furtif, inquisiteur, pénétrant, semble toujours occupé du besoin de prendre connaissance des lieux, des choses, des hommes, pour mieux accomplir ses desseins ».
Le dépravé « présente quelque chose d’instinctivement criminel et vicieux ; son sourire grimacé, perfide, porte dans l’âme une sorte de froid glacial, une influence pénible et presque léthifère. Sa voix est gutturale et discordante, son coup d’oeil pénétrant et diabolique, c’est le regard éblouissant et fatal de la panthère et du caïman ».
L’empoisonneur a un « visage efféminé, prévenant, un oeil caressant et faux comme celui du serpent qui veut fasciner sa proie »
.
Le meurtrier enfin, « appartient à ces natures sauvages ou grossières et stupides qui commettent le meurtre souvent avec plaisir, quelquefois sans préméditation et sans intérêt : comme l’hyène et le chacal se livrent à leurs terribles instincts par le seul amour du sang et du carnage ». Il a un « regard sinistre, farouche, haineux, menaçant ; les lèvres minces, frémissantes, crispées ; les narines ouvertes et respirantes ; les mouvements brusques, saccadés, la démarche convulsive et bondissante ; leur ensemble offre quelque chose de hargneux, de féroce et d’antipathique »
(Lepelletier de la Sarthe, Système pénitentiaire complet..., 1857, p. 176-202).
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Etonnant, non ?
Libellés : ce que parler veut dire, sarkozy, sarközy
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