25.6.07
21.5.07
Etre refroidi, faire long feu
Libellés : les aventures de la droite, les aventures de la gauche
13.5.07
7.5.07
Merci à tous ceux sans qui Bebereulnanar ne serait pas là où il en est
Il faudra bien un jour élever le Savonnage de Planche au rang de discipline Olympique.
Merci au PS et à ses vieux crocodiles (un éléphant ça pèse; un crocodile ça pleure en mordant) d'être revenus à la vie hier soir à 20 h 01 quant il s'est agi de se quasi-féliciter de la défaite de Royal : on allait pouvoir se retrouver entre soi pour se partager les restes.
Merci au PS de n'avoir prononcé aucun gros mot hier soir à la télévision. Dire "RMiste", "chômeur", "immigré","travailleur pauvre", "sans-papier","SDF", "chasse à l'enfant", "banlieues", "misère"... eût été une faute de goût à l'heure où le futur Président dînait au Fouquet's. Le bon goût français : la voila, la vraie identité nationale, le vrai consensus.
Merci à la Gauche Anti-Libérale Unitaire de s'être très libéralement entre-déchirée, dans la course au chacun-pour-soi. Une seule incohérence à relever : le tous-ensemble-contre-Royal. Erreur de jeunesse, sans doute.
Mention spéciale pour Michel Onfray qui démissionna jadis de la fonction publique pour se consacrer à sa carrière privée. Son appel à l'abstention-blanc-nul lui garantit cinq ans de gros tirages, de déjeuners d'affaires, d'avions et de conférences aux Etats-Unis, où il pourra populariser universitairement l'Art d'Accomoder les Restes à l'usage des pauvres et des mal-mangeant.
Merci à l'UMP d'avoir monté la plus gigantesque esbrouffe politique depuis Buonaparte(*), le Général Boulanger, Badinguet et Jacques Chirac.
Mention spéciale à Henri Guaino, auteur des discours de Sarközy, dont on attend la publication des nouveaux ouvrages : " Comment faire croire qu'on a de la culture, de l'humanisme et une Certaine Idée de la France en 5 leçons" , " Philippe Pétain, le fils caché de Jean Jaurès" et "Subjonctif n'est pas français".
Merci aux has-been sans-rancune des années 68 qui ont chanté Place de la Concorde.
Merci aux repris de justice venus voler (.?.) au secours de la victoire sur le petit écran : Alain Juppé, Bernard Tapie, Johnny Hallyday (par ailleurs contribuable modèle, comme Doc Gynéco) etc.
Merci à la coalition de tous les traîtres coagulés autour du roi d'entre eux.
Mention spéciale à Besson, le Petit-Bleu, qui sera bientôt promu général sur le champ de bataille, comme au bon vieux temps(*).
Merci à Nicolas Sarközy, chantre du travail et des heures supplémentaires, dont la première décision aura été de partir une semaine en vacances en Corse (*).
Merci aux 4330 lecteurs qui auront lu 8029 pages de mon blog en un an. Ce qui n'aura eu, finalement, aucune espèce de conséquence notable.
(*) Je n'y suis pour rien si l'onction présidentielle transforme chaque geste en symbole.
Le candidat avait promis de faire du Maquis des Glières le lieu mystique de sa communion avec la France.
L'Elu trahit sa première promesse en préférant la Corse, patrie du Petit Caporal, et de la version française de la mafia.
On prend les maquis qu'on peut.
Libellés : ce que parler veut dire, coup de sang sanglant, les aventures de la droite, les aventures de la gauche, sarközy
4.5.07
ARIANE MNOUCHKINE LANCE CET APPEL
Alors, vous allez vraiment faire ça ?
Vous les plus purs que d’autres, les plus intelligents que d’autres, vous les plus subtils, vous les cohérents, vous les fins stratèges, vous allez faire ça ? Vous, les à qui on ne la fait plus, les durs du cuir, vous allez vraiment, en ne votant pas pour elle, voter pour lui?
Vous allez vraiment faire ça ? Vous allez le faire ?
Vous, les vrais de vrais de la gauche vraie, vous allez faire ça ? Pour cinq ans ! Pour cinq ans, peut-être dix, vous allez faire ça ?
Vous, les toujours déçus de tout, vous les amers, les indécis décidés, les lave plus blanc que blanc vous allez faire ça ?
Mais pourquoi ? Parce que quoi ? Parce que jupe ? Parce que talons hauts? Parce que voix ? Parce que sourire, cheveux, boucles d’oreilles? Parce que vraie ?
Il n’y a rien qui vous aille dans son programme à elle, rien ? Pas cinquante propositions sur les cent ? Pas vingt ? Pas dix ? Pas une ? Vraiment, rien du tout ?
Trop de quoi ? Pas assez de quoi?
Pas assez à gauche ? On voudrait, quitte à tout perdre, une campagne à gauche toute ?
Mais même l’extrême gauche, cette fois-ci, au deuxième tour ne joue plus à ce jeu-là. Peu importe, vous, vous allez y jouer ?
Le résultat du 21 avril 2002 ne suffit pas ? Non. On le refait en 2007, mais en mieux. Pas au premier tour, non, carrément au deuxième. C’est plus chic.
Que ceux qui ressemblent à Nicolas Sarkozy, ou qui croient qu’il leur ressemble, que ceux-là votent pour lui, quoi de plus normal. Que ceux qui lui font sincèrement confiance pour améliorer leurs dures vies, que ceux-là l’acclament et votent pour lui, quoi de plus normal. C’est même estimable.
Que les grands patrons votent Nicolas Sarkozy, pas tous d’ailleurs, loin s’en faut, non, mais par exemple les grands patrons de presse, qu’on a vu se si nombreux, si heureux, à Bercy avant hier, qu’ils votent pour leur copain, qui va vraiment améliorer leurs belles vies, c’est moins estimable, mais quoi de plus normal ?
Mais vous, une respiration possible, un air nouveau, un espace de travail politique, une chance espiègle, ça ne vous dit rien ? Vraiment rien? Mais qu’est-ce qui vous fait si peur ?
Les Italiens ont enfin chassé Berlusconi, les Espagnols, après une grande douleur révélatrice, se sont débarrassés d’Aznar, et voilà que nous, à quelques milliers de voix près, nous allons repasser le plat de la droite dure ?
Il y a un pari à prendre contre une certitude sombre, et vous ne pariez pas ?
Quels désirs obscurs allez-vous satisfaire ? De qui donc, de quoi êtes-vous secrètement solidaires? Ce ne peut-être du bien de ceux qui ont besoin, vitalement, de mieux être. Vitalement. Maintenant.
Supporterez-vous dimanche soir d’apprendre qu’il a manqué une voix ? Une seule. La votre.
Je vous en supplie.
Ariane Mnouchkine
30.4.07
Mai 68 : Sarközy et la voix de son maître, Philippe Pétain
"Nous tirerons la leçon des batailles perdues. Depuis la victoire(de 1918) , l'esprit de jouissance l'a emporté sur l'esprit de sacrifice. On a revendiqué plus qu'on a servi. On a voulu épargner l'effort ; on rencontre aujourd'hui le malheur."
Pétain s'adresse aux Français, 20 juin 1940
"Notre défaite est venue de nos relâchements. L'esprit de jouissance détruit ce que l'esprit de sacrifice a édifié. C'est à un redressement intellectuel et moral que, d'abord, je vous convie. Français, vous l'accomplirez et vous verrez, je vous le jure, une France neuve sortir de votre ferveur."
Philippe Pétain, "Appel du 25 juin 1940"
C'est librement que je me suis rendu à l'invitation du Führer. Je n'ai subi, de sa part, aucun diktat, aucune pression.
Une collaboration a été envisagée entre nos deux pays. J'en ai accepté le principe.
Message radiodiffusé du maréchal PÉTAIN, octobre 1940.
"Cette loi du travail a été marquée par une formule de malédiction : « Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front ». C'est donc à tort qu'on a fait luire à vos yeux le mirage d'une cité future où il n'y aurait plus de place que pour le loisir et pour le plaisir. "
MESSAGEDE COMMENTRY1er MAI 1941
Sarközy, à l'usage du dernier carré des rombières du FN qu'il veut raccoler à n'importe quel prix , a ressorti du placard le plus pourri de l'histoire de France les meilleures phrases de Pétain à propos du Front Populaire, et nous les ressert quasi textuellement à propos de Mai 68.
Citation pour citation, si Sarközy est élu le 6 Mai 2007 à 20h, je vous donne rendez-vous ici même à 20 h 01.
Pour nous redonner un peu de moral, nous relirons ceci :
à la guerre comme à la guerre...
Libellés : ce que parler veut dire, les aventures de la droite, sarközy
29.4.07
Sarközy, après lui, les mouches.....
AP 28.04.2007 21:27
Nicolas Sarkozy s'est plaint auprès de Plantu puis de la direction du "Monde" de la façon dont le dessinateur du journal le caricaturait, selon un article paru dans l'édition datée de dimanche-lundi. Le candidat de l'UMP à l'élection présidentielle était à l'époque ministre de l'Intérieur.
"Je ne le vis pas comme une tentative de pression car j'ai la chance d'être soutenu par la rédaction du 'Monde'", explique le caricaturiste dans le journal, mais "Sarkozy impressionne tellement que, s'il y a un pétochard dans la rédaction en chef, la liberté du dessinateur est fichue".
Nicolas Sarkozy n'a pas réagi à l'article samedi.
En décembre 2005, raconte la médiatrice du "Monde" Véronique Maurus, un "motard en tenue" a remis à Plantu "une lettre à en-tête du ministère de l'Intérieur" dans laquelle M. Sarkozy lui reprochait d'avoir dessiné une mouche au-dessus de sa tête.
"Je sais qu'elles accompagnent généralement la représentation de Jean-Marie Le Pen", écrivait le ministre. "J'ignore sincèrement ce qui me vaut un tel traitement, tant je considère avoir, tout au long de ma vie politique, combattu les idées de l'extrême droite: le racisme, l'intolérance, l'antisémitisme et, de manière générale, tout ce qui atteint l'homme dans sa dignité, à commencer par l'esclavage", ajoutait-il, proposant au dessinateur un entretien destiné à dissiper "le malentendu".
"Bien sûr, le lendemain, j'ai dessiné trois mouches! (...) Il provoque lui-même la réaction qu'il redoute. Là où il y a une mouche, il en crée trois", déclare Plantu, cité par son journal. Depuis, poursuit "Le Monde", Nicolas Sarkozy a "aggravé son cas en se plaignant auprès de la direction du journal d'avoir été croqué en petit chien, 'en roquet', selon lui, puis d'avoir été affublé du brassard I.N." (pour "identité nationale", le nom du ministère qu'il a dit vouloir créer).
Plantu, de son vrai nom Jean Plantureux, affirme qu'il "assume" son "rôle excessif" et qu'il lutte à sa façon contre les accusations de "sarkozysme" visant "Le Monde". Et d'en rajouter en notant que Nicolas Sarkozy "ne (lui) reproche pas de le dessiner en traître. C'est curieux..." AP
Scathophaga stercoraria - Mouche à merde
Sarközy le poids mouche, prend la mouche, et veut moucher Plantu. A trop vouloir jouer les fines mouches, à force de jouer les mouches du coche, d'envoyer ses mouchards, dru comme mouches, dans les rédactions, de chasser les mouches , d'être piqué de la mouche de la censure et de la pression sur la presse, cet enfileur de mouches fait querelle sur une mouche.
Comment lui expliquer qu'on n'attrappe pas les mouches avec du vinaigre, et que, si l'on veut faire mouche, il ne faut pas être trop tendre aux mouches ?
Ses pattes de mouche, même expédiées par un motard en uniforme, ne feraient pas de mal à une mouche : elles sont ennuyeuses comme les mouches, et vouloir écraser Plantu comme une mouche, c'est de l'enculage de mouches.
Qui se sent morveux, qu'il se mouche.
Libellés : ce que parler veut dire, sarközy
25.4.07
Sarközy, l'homme qui crache dans la main qui le nourrit
Allez donc faire un petit tour par ICI (<--clic)
Ensuite, retournez donc ICI (<--clic)
Enfin, regardez bien cette image :
Cela s'intitule : le traître pendu.
Et c'est le châtiment que les Grecs avaient inventé pour les traîtres. Bien avant d'avoir inventé la démocratie. Sacrés Grecs!
Libellés : sarközy
23.4.07
22.4.07
Malgré les menaces du CSA, Bebereulnanar annonce dès 13 h 15 les résultats du premier tour des élections présidentielles 2007
"Présidentielle 22/04/2007 - 10:59
Nicolas Sarkozy a voté à Neuilly
Nicolas Sarkozy a voté, dimanche en fin de matinée, pour le premier tour de l'élection présidentielle. Le candidat UMP est arrivé à l'école maternelle Edith Gorce Franklin, sur l'île de Jatte, dans sa ville de Neuilly-sur-Seine peu avant 11 heures. Il est arrivé aux (*) bras de son épouse, Cécilia et avec ses deux filles, Jeanne-Marie et Judith. Cécilia Sarkozy a été très discrète depuis le début de la campagne, ce qui a alimenté des rumeurs sur leur couple qui a traversé une crise au printemps 2005. " (Journal du Dimanche)
A la suite d'un bref dépouillement, il a été proclamé Président de la République, ayant obtenu 75% des suffrages,un des 4 bulletins ayant été déclaré nul, car il portait , écrite à l'aide d'un tube de rouge à lèvres, la phrase suivante: "Si j'avais su, j'aurais fait comme Ségolène, je ne me serais jamais mariée... encore 5 ans pour me dépêtrer de ce c.... aaaaaaarghhhh......."
On sait que la Constitution de la cinquième République interdit l'usage du rouge à lèvres pour la rédaction des bulletins de vote. C'est ce que fit valoir le président de l'équipe de dépouillement, juste avant de rouler en boule le bulletin litigieux, de l'avaler, et de se faire embarquer par le service d'ordre.
Le nouveau locataire de l'Elysée a immédiatement fait publier le communiqué suivant :
"Le Président de la République, par le pouvoir qu'il se confère, transforme dès aujourd'hui son CDD en CDI. Il informe la population qu'il est inutile de se rendre dans les bureaux de vote ce dimanche 22 avril, le scrutin étant déclaré clos et valide. Toute élection est désormais inutile, l'Idée de la France que je me fais s'étant exprimée une fois pour toutes. Moi, les heures sup, ça ne me fait pas peur"
Le nouveau Président s'est fait remettre les insignes
de son nouveau pouvoir au cours d'une courte cérémonie
à laquelle n'assistaient que deux membres de sa famille.
(*) Ce "x" figure bien dans le communiqué du Journal du Dimanche. Je le laisse ici. 13 heures, un dimanche, c'est l'heure d'aller pouffer.
Libellés : sarközy
18.4.07
Salut, Cécel !
-Tiens, Eulnanar! Quénouvelle, depuis le temps qu'on ne t'a vu?
-Ca va.... On boit un coup, Cécel? Allez, une tite bière...
-Non, tu vois, aujourd'hui, je peux pas.
-Ben, pourquoi, Cécel ?
-Ben, parce que je suis mort, va....
-Ben vla tout, on la boira la prochaine fois qu'on se reverra, mon vieux Cécel.
11.4.07
Sarközy et le gène du crime : Bebereulnanar lance un grand jeu-concours !
La science du XIXème siècle l'a abondamment prouvé.
La règle du jeu est simple.
Lisez soigneusement ce texte, muni d'un crayon et d'une feuille de papier. Dessinez soigneusement tous les traits de tous ces criminels sur un seul visage.
Qui voyez-vous apparaître ?
Vagabond
Querelleur
Escroc
Fanatique
Voleur
Dépravé
Empoisonneur
Meurtrier
"Chacun de ces types est reconnaissable à des traits distinctifs visibles.
Le vagabond possède une « physionomie souvent malicieuse, fine et même assez intelligente, mais presque toujours, à la fois, sardonique, fausse, licencieuse, le vagabond est commun, familier, cynique dans ses manières ».
Le querelleur a une physionomie « avineuse, oeil dur, provocateur, bouche grimaçante, visage contusionné, meurtri, cheveux mal tenus ».
L’escroc a le « regard faux, caressant, perfide ; si vous le cherchez, il vous évite ; si vous ne le poursuivez pas, il vous observe et vous étudie ; sa physionomie satanique offre, à la fois, quelque chose de souriant, d’affectueux, de prévenant, mais d’emprunté, d’indécis, d’amer, de fatal ».
Le fanatique arbore une « physionomie martiale, regard fier, audacieux », des « lèvres mobiles et frémissantes ». Il offre, « dans les fers l’image du lion resté fier et terrible dans les entraves d’une ménagerie ».
Le voleur est « facile à reconnaître : regard furtif, inquisiteur, pénétrant, semble toujours occupé du besoin de prendre connaissance des lieux, des choses, des hommes, pour mieux accomplir ses desseins ».
Le dépravé « présente quelque chose d’instinctivement criminel et vicieux ; son sourire grimacé, perfide, porte dans l’âme une sorte de froid glacial, une influence pénible et presque léthifère. Sa voix est gutturale et discordante, son coup d’oeil pénétrant et diabolique, c’est le regard éblouissant et fatal de la panthère et du caïman ».
L’empoisonneur a un « visage efféminé, prévenant, un oeil caressant et faux comme celui du serpent qui veut fasciner sa proie »
.
Le meurtrier enfin, « appartient à ces natures sauvages ou grossières et stupides qui commettent le meurtre souvent avec plaisir, quelquefois sans préméditation et sans intérêt : comme l’hyène et le chacal se livrent à leurs terribles instincts par le seul amour du sang et du carnage ». Il a un « regard sinistre, farouche, haineux, menaçant ; les lèvres minces, frémissantes, crispées ; les narines ouvertes et respirantes ; les mouvements brusques, saccadés, la démarche convulsive et bondissante ; leur ensemble offre quelque chose de hargneux, de féroce et d’antipathique »
(Lepelletier de la Sarthe, Système pénitentiaire complet..., 1857, p. 176-202).
Vous avez trouvé?
Etonnant, non ?
Libellés : ce que parler veut dire, sarkozy, sarközy
Sarkozy a raison : le crime est génétique. Bebereulnanar en apporte la preuve :
"La menace des sous-hommes.
Les criminels mâles ont en moyenne 4,9 enfants ; un couple criminel : 4,4 enfants ; parents d'enfants médiocres à l'école (3,5) ; la famille allemande : 2,2 enfants ; un couple dans les bons milieux, 1,9 enfants" de Otto Helmut, in Volk in Gefahr (Peuple en danger), Munich, 1937
Cette date et ce lieu d'édition sont évidemment fortuits.
Le grand danger des sous-hommes,c'est qu'ils se reproduisent beaucoup. On le voit bien ici, ils sont pauvres : c'est génétique. Si l'on n'y met fin rapidement, les bons Allemands (riches :c'est génétique aussi) seront submergés par les sous-hommes (génétiquement criminels cela va de soi, même s'il peut paraître étrange qu'un couple criminel soit moins fécond qu'un couple dont le père seul est criminel : c'est bien la preuve qu'ils ont le vice dans la peau)
Deux solutions se proposent :
-Rendre les sous-hommes riches : toutes les lois de la génétique s'y opposent.
-Se débarrasser des sous-hommes. C'est difficile, mais en cherchant un peu dans ce qui s'est publié à Münich dans les années 30 et 40, on devrait pouvoir trouver.
Libellés : ce que parler veut dire, les aventures de la droite, sarközy
6.4.07
attentat patissier : Sarközy, le bravache nettoyeur au Kärcher se déballonne et cède à la terreur chocolatière.
Libellés : les aventures de la droite, sarközy
3.4.07
Ministère de l'hystérie et de la chiennerie française
"La chiennerie, c'est la vieille grivoiserie française, reprise par des mâles vulnérables et rancuneux"
Simone de Beauvoir
Libellés : ce que parler veut dire, sarközy
Sarközy et la lepénisation du discours : la gauche "hystérique"
Le professeur Charcot-Zy présente le cas de Ségolène Royal aux Français, dans l'arrière-salle du café du petit Commerce
Hystérique :
Empr. au gr. (dér. de « matrice ») « qui concerne la matrice; malade de la matrice, hystérique », en partic. (s.-ent. ) « les affections de la matrice ». (B. lat. hystericus, mêmes sens) (Trésor de la Langue française).
Sarkozy s'essaye depuis longtemps à la méthode Le Pen qui consiste à envoyer des messages subliminaux à travers des mots qu'il feint de croire innocents : "hystérie" renvoie à la femme, donc à Ségolène Royal, génétiquement incapable du pouvoir, puisque femme.
On se souvient de "Durafour crématoire" et du "détail de l'histoire", on en parle encore en se poussant du coude au coin des comptoirs des Cafés du petit Commerce...
Méthode efficace qui s'adresse à ce que l'identité française a de plus répugnant.
Libellés : ce que parler veut dire, sarközy
2.4.07
CLIQUEZ ICI-MÊME !
1'23" après, dans "ARCHIVES", tapez "Chirac" ou "Sarkozy" (sans"¨") et baladez-vous!
Libellés : ce que parler veut dire
1.4.07
1er avril : Bebereulnanar se fait curé !
BOBONNET BLANC ET BLANC BOBONNET
à l'extrême gauche(?), tout le monde semble se résigner (ou souhaiter?) la victoire de Sarközy.
Tant qu'à continuer la lutte après les élections, autant choisir dès maintenant de se battre contre un adversaire(les socialistes) moins coriace que le petit aventurier vicieux qui tend des embuscades devant les écoles. 5 ans de Sarkö, c'est 5 ans de plus vers la misère des plus faibles, qui, eux, prendront en pleine gueule chaque mesure prise par la droite.
-la gauche et l'extrême-gauche groggy comme en 2002 (les pauvres petits chéris)
-les mains libres à la droite et l'extrême droite,
-cinq ans de palabres pour ne pas se mettre d'accord sur une riposte 'unitaire', forcément 'unitaire'
-et des millions de laissés-pour-compte à la rue, à l'alcool, la misère, la faim, la maladie, l'exil...
Si le vote pour la gauche molle pouvait éviter cela à UN SEUL de ces êtres humains(quel curé, ce Bebereulnanar!), cela vaudrait la peine de transiger un peu avec de beaux principes dont on est même pas sûr que les beaux esprits qui les défendent n'auront pas changé d'avis à leur sujet dans 6 mois, dans un an, pour se rapprocher du manche.
"Quand on partage les souffrances du pauvre on a le sentiment de l'inégalité sociale; on n'est pas plutôt monté en voiture que l'on méprise les gens à pied." François-René de Chateaubriand
Libellés : coup de sang sanglant, les aventures de la gauche, sarközy
26.3.07
Qui a dit qu'il fallait protéger l'identité nationale ?
Libellés : les aventures de la droite, sarközy
25.3.07
Besancenot, filleul d'Aillagon, grosse tête de pioche
Avec sa tronche de beau-fils idéal, le Tintin de la lutte des classes continue son petit bonhomme de chemin sous l'oeil forcément bienveillant des media: l'essentiel de son discours consiste à dénigrer les candidats de gauche.
Le petit télégraphiste de Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa fait merveille, comme le chassepot de Napoléon III en son temps.
Il reprendra son hibernation quinquennale dans la semaine qui suivra les législatives, avec la bonne conscience du devoir accompli, avec Arlette (ardente militante de la retraite à 60 ans,rappelons-le), dès que Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa aura sa majorité.
La théorie du bonnet-blanc et du blanc-bonnet nous a valu 7 ans de Pompidou ou Giscard,( je ne me souviens plus), et 5 ans de Chirac supplémentaires.
Faute de Grand Soir tout de suite, Besancenot nous prépare cinq ans de petits matins glacés.
Car les rafles ne font que commencer.
PS (!?) : voila ce que l'on trouve quand on cherche "besancenot" sur google-image. Est-ce un fan-club ? En tout cas, le lien dans le profil renvoie à la LCR !! CLIQUER ICIhttp://www.gamekult.com/internaute/99378/
On trouve aussi : http://www.homme-moderne.org/plpl/n14/p10I.html
Libellés : les aventures de la gauche, sarközy
19.3.07
Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa a passé son bac blanc
Sujet de philosophie : "Un bon communiste est un communiste mort." Commentez.
Sujet de français :
dissertation :
"Montrez que Rimbaud et Baudelaire étaient des écrivains de droite"
Commentaire littéraire : choisissez n'importe quel texte. Montrez qu'on peut lui faire dire n'importe quoi.
Ecriture d'invention : "Lacombe Lucien écrit à Maurice Papon. La lettre commencera par ces mots "Vous serez un jour ministre RPR...". Vous emploierez le registre pathétique, surtout quand vous envisagerez que cette lettre puisse n'être jamais lue devant les "jeunes" de l'UMP. L'emploi des lettres CPE est interdit"
Sujet d'histoire : en raison d'une grève sauvage des professeurs marxo-bayrouistes, les sujets n'ont pas pu être distribués. En attendant, révisez votre histoire, ou mieux, révisionnez-la.
Sujet d'économie : montrez les bienfaits de l'immigration hongroise et les méfaits de toutes les autres pour la France.
Sujet d'Anglais : conjuguez " I love you, it eats no bread" à tous les temps de tous les modes
Libellés : les aventures de la droite, sarközy
Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa , Javert pour les intimes
Le corps, bien sûr n'a jamais été repêché. Mais son esprit, lui, est toujours bien vivant.
Battisti n'est pas Jean Valjean. Cependant, Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa est une espèce (pas la meilleure) de Javert qui voudrait se faire passer pour M. Madeleine.
Le vrai misérable, c'est lui.
Libellés : ce que parler veut dire, sarközy